mémoires de marie 2

Messages de Marie – Deuxième série

Sur l’importance de la méditation et de la contemplation ;

sur l’importance des dynamiques accumulées dans les décrets ;

sur le service de Marie pour la formation du Cœur Sacré ;

sur la grande initiation de Jésus, sur les rencontres de Jésus avec Marie et les disciples durant les quarante jours après la Résurrection.

Enfants bien aimés, je viens vous adresser mon amour et ma gratitude pour le profond intérêt que vous portez à la vie, et je m’efforce de vous montrer par transmission de conscience les voies et les moyens par lesquels vos mondes individuels peuvent être remis en ordre divin.

Je fais cela pour que vous puissiez être vous–mêmes des conducteurs de la Présence de Dieu dont, mentalement, vous avez admis qu’elle remplit l’univers, mais qui demande la confirmation de vos sentiments pour pouvoir être active à travers vous dans le monde de la forme.

Dans une certaine mesure, chacun de vous est un pont conduisant la conscience des royaumes intérieurs dans le monde de la forme et agit à titre de médiateur (comme je le fais aux niveaux intérieurs) entre la plénitude de Dieu et les Intelligences qui le représentent, d’une part, et l’esprit de la masse d’autre part. L’humanité peut contester tant qu’elle veut la nécessité de cette médiation entre la plénitude de Dieu et la conscience externe. La Loi de la Vie, l’Intelligence qui gouverne le grand Plan universel de la Création, a fourni par miséricorde ces transformateurs–réducteurs. Il en est ainsi pour que ceux qui sont descendus volontairement et consciemment dans l’arène soient pourvus d’une chaîne d’énergie par laquelle affluent les bienfaits, la grâce et la vraie vie spirituelle (qui soutient leur âme).

Au moyen de cette chaîne (et quand les énergies volontaires de leur propre monde le désirent), ils peuvent s’élever à nouveau vers leur état légitime et assumer leur place de Fils et Filles du Plus Haut Dieu Vivant. De la même manière que l’araignée tisse sa toile au moyen de son propre corps et l’utilise comme moyen de transport dans ses allées et venues, le pont de l’énergie de vie se construit à partir de l’essence même de la Divinité. Les messagers et les courants de vie (qui peuvent n’avoir avec le Royaume de Perfection qu’un lien partiel) transportent cette énergie afin qu’elle infiltre la conscience et stimule l’amour de la Vérité. Chaque fois que cela est possible, ils agissent eux–mêmes comme instruments de la foi par lesquels l’œuvre se manifeste.

Chacun de vous a développé (à travers les âges et les siècles) certaines dynamiques qui font de vous des conducteurs de qualités spécifiques représentant la nature de Dieu. Ces dynamiques sont votre don individuel et volontaire à la vie. Ce sont vos trésors accumulés dans le ciel. Ils sont cette partie de vous que nous pouvons utiliser pour extérioriser notre travail et notre service dans le monde de la forme. Ils sont en fait la seule partie de tout courant de vie qui nous concerne. Notre désir permanent est d’accentuer et d’extérioriser de plus en plus de nature de Dieu par le levain de chaque courant de vie individuel. Ce levain peut être la foi, la pureté, la paix, le bonheur, ou ce peut être encore une dynamique d’enseignement ou de guérison. Ces exemples ne sont là que pour vous donner un petit aperçu de la manière dont nous, dans la Hiérarchie, travaillons en nous entourant de certains courants de vie dont nous pensons qu’ils peuvent servir du mieux possible le Plan divin en collaboration avec notre vie. Alors, nous nous efforçons de relier nos énergies à ces individus par tous les moyens à notre disposition.

Nous relions nos énergies à l’humanité par la radiation, mais aussi à travers la contemplation de notre Présence par vos êtres bénis. En de rares occasions, lorsque la vie nous octroie ce privilège, nous connectons notre rayonnement à votre conscience par la parole prononcée. Dans tous les cas, tout Être parfait contacte des êtres non ascensionnés uniquement pour étendre les limites du Royaume, pour étendre la radiation de perfection et projeter davantage de lumière et de dons de Dieu dans le monde de la forme, de même que dans le royaume psychique et astral qui constitue l’atmosphère de votre planète.

Mon service à la vie a trait à la création du cœur à travers lequel le Feu Sacré se concentre et s’écoule dans le monde de l’apparence et, pour un temps, donne à la personnalité son existence et son identité. C’est un service intéressant sur lequel il convient de donner quelques éclaircissements. Vous l’utilisez vous–mêmes pour créer un noyau fait de cellules vivantes, êtres intelligents doués de libre arbitre. Toutefois, celui-ci est différent du cœur fait d’énergie intelligente vouée à l’obéissance, comme l’est le cœur physique de l’individu. Quand la faculté de recevoir un nouveau corps terrestre est octroyée au courant de vie et que les Seigneurs du Karma l’ont approuvé, le bénéficiaire est conduit dans mon Temple. Ensemble, nous considérons la substance et l’énergie que l’âme a utilisées, peut–être durant des éons, et qui sont l’héritage personnel et naturel de cette âme, pour former l’enveloppe dans laquelle elle devra évoluer.

Comme je l’ai dit, c’est à partir de la substance élémentale que nous nous efforçons de façonner d’abord le cœur, qui est le calice de la Flamme de Vie Triple et Immortelle. Les cellules du cœur sont choisies parmi les plus développées des substances élémentales constituant le corps physique, car ce sont elles qui, au cours du service à la vie, nécessitent le plus de résistance et de durée, pour supporter le battement qui donne la vie à l’enveloppe. Voilà pourquoi sont utilisés pour le cœur les électrons les plus développés parmi ceux qui vont former le corps physique. Ils sont attirés dans le corps de la future mère et s’intègrent à sa chair, avant même que la conception ait eu lieu. Puis, par le fait de la merveilleuse intelligence des Constructeurs de la Forme, les cellules du cœur appartenant à la nouvelle âme se séparent du corps de la mère, repoussant toute substance parentale, et forment le Calice exquis enveloppant la Triple Flamme de Vie. C’est un processus magnifique, mathématique et d’une telle exactitude scientifique que j’aimerais pouvoir vous montrer sur écran toute la précision avec laquelle les Constructeurs de Forme magnétisent la substance appartenant à l’âme qui va naître et, de deux cellules, en rejettent continuellement une jusqu’à ce que le cœur soit formé.

Exactement de la même manière et dans la même mesure, les cellules qui doivent former le cœur spirituel d’une communauté, d’un mouvement, d’une grande nation, d’une planète, d’un univers ou d’une galaxie, sont choisies à partir des courants de vie qui ont développé la plus grande endurance et la plus grande pureté. Ce sont eux qui ont mérité au cours des âges le privilège et l’honneur de former la voûte de protection tout autour du Feu Sacré qui doit être projeté et répandu pour le bien des masses.

Le grand corps de l’humanité n’a pas trop de cellules qui puissent être utilisées pour la constitution d’un cœur spirituel. Parmi les spirituellement alignés, les élus, nous trouvons sept types distincts de dynamiques et de consciences individuelles qui peuvent être employés dans les sept centres ganglionnaires du Corps Spirituel du Christ. Ces gens sont sensibles à l’élan d’une Nouvelle Activité. Ils savent qu’ils sont destinés à, disons, faire partie de quelque organe vital dans une grande entreprise actuelle, que ce soit un mouvement mondial ou une activité politique locale. En réponse à cet appel, ils se portent quelquefois candidats pour une position à l’intérieur du cœur, alors qu’ils appartiennent à un autre centre. Et le même genre d’intégration se produit constamment : des cellules sont attirées dans le cœur, se purifient et s’adaptent l’une après l’autre à leur place parfaite. Puis elles s’efforcent, chaque fois que cela est possible, d’attirer d’autres cellules dans leur propre organisme vital.

Voilà l’activité dans laquelle vous êtes engagés aujourd’hui, mes bien aimés.

Vous êtes plus ou moins la substance formée par les mains et les cœurs d’Intelligences plus grandes que vous. Dans ce grand ordonnancement, chacun de vous trouve sa place parfaite.

Nous qui pouvons voir, nous avons, avec un soin infini, planifié la création du Cœur Spirituel. Celui–ci sera le fournisseur d’énergies vivifiant le grand Corps Spirituel qui sera le Christ Cosmique du futur, constitué par les dix milliards d’âmes destinées à développer et à incarner la maîtrise sur la Terre. La création d’un cœur est l’opération cruciale de la création d’un corps physique. Ce l’est aussi pour la création d’une organisation spirituelle. Elle requiert une application formidable de la part de toute âme sommée par la Loi, même pour celle qui n’est que mollement chevillée au plan. Puisque cette année, j’ai l’honneur et l’opportunité de contacter les masses, j’ai aussi le privilège de travailler avec ceux d’entre vous qui ont choisi de voir le dessein derrière la confusion et le chaos apparents.

Ainsi que ma propre dynamique m’y autorise et que la sagesse accumulée au cours de mes siècles d’activité dans la formation des cœurs me le permet, je m’efforcerai de vous aider dans votre tâche.

Si, pendant la gestation, les cellules qui doivent constituer les sept grands centres n’arrivent pas à se polariser correctement pour une raison ou une autre, ou ne sont pas maintenues parfaitement en orbite, l’instrument d’incarnation physique devient défectueux. La sélection spirituelle, selon laquelle chaque courant de vie prend sa place parfaite et y réside, est une condition préalable essentielle pour que nous puissions entreprendre et étendre notre effort d’élever, de racheter les masses et purifier toutes les fonctions qualifiées de façon discordante dans le corps spirituel de la race.

Nous vivons un temps secret et sacré, un temps où moi–même, me rappelant mes propres expériences, suggère que vous méditiez ces choses dans votre cœur et les immergiez dans vos prières. Demandez à votre propre Je Christique la grâce de vous illuminer, et alors, sans exagération, efforcez–vous d’être la meilleure cellule possible à la place qui vous revient.

J’ai pensé que, cette année, je pourrais faire un don plaisant à la vie en rapportant quelques expériences encore inédites de notre vie en Judée. De temps en temps, quand l’occasion le permettra, je vous en apporterai le souvenir par le rappel de certaines scènes et portraits.

Avant la grande initiation de notre bien–aimé Jésus, nous avions l’habitude de nous retrouver dans une relative intimité lors des rares instants où le public ne réclamait pas notre assistance. Nous parlions alors des moyens par lesquels nous pourrions le mieux perpétuer la Vérité, préserver la clarté du message de Jésus et en faire don à la postérité sous forme de loi exploitable. Durant les années de vie de mon Fils, je me vouai presque entièrement à conserver pour lui le Concept Immaculé. Je ne m’engageai dans aucun autre service, hormis celui de l’entretien de mon ménage. Je m’efforçai de vivre dans un état permanent de contemplation de son humanité divine, en intensifiant sa maîtrise par la pression de mes pensées et sentiments.

Après que notre bien–aimé Joseph eut été écarté de la scène de la vie, j’éprouvai une responsabilité double de conserver le Concept Immaculé. Je peux vous dire en toute sincérité que je ne me séparai pas sans beaucoup de regrets de la grande force, de la grande sérénité et de la dignité de Joseph, pour continuer mon chemin plus ou moins seule. Toutefois, la Loi de la Vie et les Seigneurs du Karma avaient déterminé qu’il en serait ainsi et que lorsque sa mission serait terminée, comme tous les autres avant lui, il replierait sa tunique autour de lui et retournerait dans le Cœur du Père.

Rester fut mon opportunité. Parfois, Jésus et moi, ensemble dans le calme d’une soirée, évoquions les divers aspects de son ministère qui devraient être soulignés. Plus d’une fois, nous parlâmes de la nécessité de passer au travers de l’apparence de la mort dans le but de prouver l’immortalité de la Vie et de démontrer que l’homme, par sa propre conscience, pouvait transcender la mort et maîtriser un vêtement qui, selon toute apparence, avait perdu sa vitalité. Dans la Retraite où cette initiation a lieu, à Louxor par exemple, il est relativement aisé pour un initié bien entraîné de déconnecter ses sens du monde qui l’entoure et de suspendre son souffle de manière à ce que le corps soit quasiment ‘mort’. Cependant, réaliser cet acte consciemment au milieu de centaines de consciences haineuses et incontrôlées est une initiation d’un autre calibre ! Mais la conscience externe est telle qu’à moins d’exécuter elle–même la sentence de mort, l’humanité n’aurait jamais cru que la Résurrection était authentique et qu’elle n’était pas l’illusion d’un tour de fakir ou d’une manifestation d’hypnotisme. Je peux vous le dire franchement : ni Jésus, ni moi–même ne trouvâmes jamais agréable la nécessité qu’il dût passer par ce grand service à la vie.

Lorsqu’il demanda que cette coupe lui fût ôtée des lèvres, c’est parce que personne, ascensionné ou non, n’était certain que la victoire d’une démonstration publique était assurée. Sachez que toute la violence psychique et astrale accumulée depuis la chute de l’homme était dirigée contre une telle démonstration par des individus incarnés qui permettaient à ces forces maléfiques de les utiliser comme des marionnettes. Ils s’en firent les acteurs sur la scène de la vie, essayant de détruire la sérénité et l’équanimité de l’initié. Il fallait compter non seulement avec les masses pitoyables qui s’étaient ouvertes à ces forces, mais aussi avec des influences plus subtiles et plus puissantes qui s’étaient juré de faire échec à cette mission.

Depuis le jour où le prétendu miracle de Cana fit connaître le nom de Jésus au grand public, je fis ce que vous appelleriez en termes d’Eglise une neuvaine perpétuelle. Je passai des heures et chaque moment qui n’était pas consacré aux nécessités d’entretien de nos corps dans la contemplation et la prière pour l’accomplissement, par lui, de la victoire de la Résurrection.

Luc était médecin, et Jésus l’avait initié en privé à quelques–unes des activités subtiles de la guérison. Malgré cela, le disciple disait souvent : « Je ne pense pas que cela soit réalisable ! » Pourtant, comme vous le savez, cela fut magnifiquement fait, avec l’assistance du Maha Chohan et d’amis bien aimés, ascensionnés et non ascensionnés.

La mémoire et la gloire de cette expérience demeurent vives à ce jour ! Je vous parle de cela uniquement parce que vous pourriez vous demander pourquoi nous ne planifiâmes pas mieux le futur. Nos esprits et nos cœurs étaient tournés vers le but d’imprimer cette mission de manière dynamique et positive dans la conscience des gens et de l’y enchâsser, et nous ne pensâmes pas spécialement au–delà du matin de la Résurrection. Ceux d’entre vous qui nous étaient proches en ces jours–là savent que la mission de Jésus fut profondément enracinée dans les corps éthériques que vous portez, de même que les victoires et les miracles rapportés dans les livres de la Bible qui ont fait référence jusqu’à maintenant. Ces relations doivent être revivifiées et publiées à nouveau aujourd’hui comme preuve de ses Vérités et de son grand service cosmique à la Vie.

Toutefois, alors que nous nous rapprochions de cet événement exceptionnel, Jésus et moi–même décidâmes entre nous que je devrais retourner à Béthanie. C’est là que, pour ainsi dire, nous connûmes en ces jours difficiles nos seuls moments de bonheur. Nous nous y sentions à la maison. Nous y avions connu la douceur des fleurs et la joie de l’amitié, celle qui n’est pas empreinte du désir de gain personnel. Nous avions l’habitude de nous asseoir tous les deux et de nous recueillir dans la joie de la Présence de Dieu et de l’autre. Jésus dit : « Mère, je pense que c’est à Béthanie que vous et ceux qui resteront vivrez le mieux les années qui vous sont allouées. Si la Loi le permet, je vous rendrai visite de temps en temps et, au mieux de mes possibilités, je vous apporterai, ainsi qu’à mes amis de cœur, les Lois qui vous fortifieront et vous aideront à secourir les gens. »

C’est ainsi que ce jour sur le Calvaire, quand les heures de l’épreuve furent passées, Jean et moi descendîmes la colline et, se souvenant de la recommandation de Jésus, Jean me conduisit à Béthanie. Les autres disciples nous y rejoignirent peu après le matin de Pâques. Durant les quarante jours précédant l’Ascension, nous eûmes entre nous tous une période d’exquise association. La grâce de cette période nous fut accordée par le Conseil Karmique, car, si les disciples et les croyants au cœur endolori n’avaient pas eu pendant quarante jours cette association avec la Présence mystique de Jésus, je pense qu’ils n’auraient pas conservé la foi !

Le matin de la Résurrection fut un instant très court. L’esprit humain aurait pu le croire imaginé par l’espoir, mais nous eûmes de notre bien–aimé une visite à chacune de ces quarante longues journées, parfois de quelques minutes, parfois d’une heure ! Ainsi, le jour de l’Ascension ne fut pas une séparation aussi difficile que celle du vendredi saint.

Je vais m’efforcer de vous raconter, aussi vite que le temps et vos énergies me permettent d’entrer dans vos mondes, l’histoire de notre séjour à Béthanie et comment nous conçûmes notre plan d’action pour l’Ere chrétienne. C’est une histoire plaisante, heureuse et paisible, celle d’un temps où Jésus nous rendit très souvent visite et parlait avec nous, un temps où nous écrivîmes de nombreuses Vérités, un temps où Pierre, Jacques et Jean rédigèrent des Evangiles qui demeurent encore occultés ! Ils réapparaîtront un jour, comme les enseignements mystiques et intérieurs du Christ. Mon récit est aussi celui d’un temps où des guérisons furent pratiquées, oh! peut–être d’une manière simple et peu ostentatoire, un temps où ceux qui aimaient mon Fils choisirent d’incarner ses enseignements en apprenant les complexités de la guérison mystique. En ce temps–là, j’écrivis aussi pour la postérité certains traités que, plus tard, j’espère soumettre à votre attention. Ce fut un temps où, du cœur libre et de l’Esprit de celui que nous appelions Maître et Ami, les âges encore à naître se déroulaient devant nos yeux. Béthanie gardera toujours une place dans mon cœur et chez ceux qui y participèrent.

Ce matin, je suis venue d’abord pour vous apporter la paix, chers bien aimés, pour confirmer la foi des Maîtres Ascensionnés en votre lumière, pour confirmer la confiance et la croyance de la Fraternité en votre intégrité spirituelle et pour dire à chacun que pour Dieu, vous êtes précieux au–delà de ce qu’expriment les mots. Aux sens humains, cela peut sembler de peu d’importance, mais les pensées et sentiments externes des gens ne sont pas une bonne mesure de ce qui reçoit l’approbation de Dieu.

Enfants bien aimés, regarder les cœurs que vous avez façonnés voici trente, quarante ou cinquante ans, et voir qu’ils ont si peu changé est une chose merveilleuse. Dans beaucoup de cas, on voit même que la lumière de cristal a élevé la vibration de chacune des cellules. De même, il est gratifiant de faire don de belles pièces ouvrées aux enfants de Dieu et de les retrouver conservées par la grâce, souvent patinées par la lumière et le feu de la souffrance pour que le Calice soit plus beau. Un jour, lorsque vous déposerez votre corps et porterez la réplique du cœur dans les Salles du Karma, il sera bon de la voir resplendir, contenant la récolte de toutes vos incarnations. Pour ma part, j’attends ce jour avec joie.

Merci et que Dieu vous bénisse!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *