Mémoires de Marie 3

Messages de Marie – Troisième série

Expériences personnelles et pensées du premier vendredi saint ;

l’apprentissage de Marie et sa faculté de conserver le Concept Immaculé ;

sa détermination à le conserver aujourd’hui pour chaque être humain ;

son intérêt et service particulier à la vie : activités du Temple du Sacré-Cœur aux niveaux intérieurs

Enfants bien aimés, savez–vous quel anniversaire nous fêtons aujourd’hui ? Celui du premier vendredi saint, quand me fut octroyée la merveilleuse opportunité de devenir la Mère de chacun d’entre vous, Mère de toutes les âmes, des précieux esprits, pleins d’aspirations, appartenant à l’évolution de cette planète. De par cette fonction, j’ai le privilège d’aimer et de prendre soin de tous, d’envelopper chacun dans un rayonnement personnalisé d’intérêt et de sollicitude maternelle, jusqu’au jour où tous auront atteint la pleine maîtrise dans la lumière ! Le matin de ce premier vendredi saint, je montai seule le coteau d’une triste colline, Mère d’un Être ; j’en redescendis quelques heures plus tard, Mère de millions ! Est–ce que ce ne fut pas une chance ? Ne fut–ce pas le couronnement de la gloire plutôt qu’une douleur ? Ce vendredi saint fit de moi, femme d’intérêts individuels, une Mère cosmique de toutes les âmes si chères au Cœur de Dieu, et je m’en souviendrai toujours ! Il en va toujours ainsi dans une expérience personnelle : lorsque vous donnez ce qui vous est le plus cher et, bien que cela vous déchire le cœur, le retournez à l’Universel selon la volonté de Dieu, la bénédiction divine est suprêmement généreuse. Là, où avant, un Être m’était le plus précieux, naquit l’amour pour la multitude. Mes chers, comment puis–je vous décrire l’exaltation de l’âme, lorsque s’élèvent la conscience, les sentiments et que vos bras deviennent les bras éternels qui enveloppent toutes les consciences de la Terre, avec les mêmes but et intensité qu’ils avaient pour un Être ou pour quelques–uns ? Mon ministère et mon expérience en sont un exemple magnifique parce que, à cause de la nature même du service que Jésus était destiné à rendre, je dus passer par une initiation pour me perfectionner à focaliser et concentrer mes énergies, ma substance, ma protection et ma vie sur un seul courant de vie. A cause de l’importance capitale de l’Instant cosmique, je ne fus pas autorisée à laisser vagabonder mon attention. Puis, d’un seul coup, cet Être me fut enlevé, lui qui avait été le foyer de tous mes soins, de toute ma vie, de tout mon amour et de ma sollicitude. Imaginez toutes ces nuits de veille et de prières, tous ces jours d’appels à l’aide adressés à Dieu, puis, cette injonction venue du Cœur du Père universel : que j’étende ma sollicitude à tous ! Tout cela d’un seul coup.

Mes bien aimés, voyez comment, dans sa sagesse, procède la Grande Loi en construisant une dynamique ! Elle focalisa un pouvoir de concentration, d’amour et d’altruisme, de pureté et de dévouement sur un centre qui, à un Moment cosmique, fut transpercé par la Flamme du Cœur de l’Universel pour lui donner une dimension planétaire ! Observez la bonté de la Loi à ne laisser aucun vide, pas un seul instant d’affliction avant que l’Esprit de l’Un commandât : « Mère, voici tes enfants ; enfants, voici votre Mère ! » A l’instant même où ces mots furent prononcés, la Flamme de mon cœur explosa et, en même temps que j’abandonnais l’esprit de Jésus au sein du Père éternel, je fus inondée de ce rayonnement grandiose de l’amour pour tous ! O, bonté de Dieu, grâce de la vie en cette heure de notre initiation ! Je parle avec autorité quand je dis que vous n’êtes jamais, jamais seuls ! Ce que vous construisez humblement dans votre vie de tous les jours, à chaque heure, forme un foyer qui, à chaque instant, peut être amplifié comme le fut le mien. Toutes les énergies de mes corps se moulèrent dans une succession d’expériences journalières, humbles en apparence, créant une forme qui devait devenir ma force, mon équilibre et ma santé mentale à l’heure où j’en aurais besoin. De même, vous aussi construisez votre force dans la quiétude des jours avant que ne se présente l’opportunité qui sera votre destinée individuelle. Nul ne sait quand arrive cette heure, car elle n’est la même pour personne. Pour moi, ce fut au Calvaire ! Pour chacun d’entre vous, vos expériences terrestres culmineront en un grand apogée cosmique et puis, la grâce de la Cause Universelle Première vous bénira et vous soutiendra jusqu’à l’accomplissement de votre victoire. Sur cette colline, il me fut demandé de rester vigilante et pleinement consciente durant toutes les heures de la crucifixion. Je crois que vous aimerez savoir ce que je pensais pendant que je veillais. Je restai debout et conservai dans ma conscience la Conception Immaculée de la Vie Éternelle, en m’efforçant de reproduire dans le corps physique l’initiation par laquelle j’étais passée au temps où Jésus et moi–même n’étions pas encore incarnés. Je restai debout et tins pour mon Fils le foyer christique concentré de la Flamme de Résurrection et, pour ce faire, je concentrai toutes mes énergies sur le modèle heureux de toutes nos expériences vécues.

Je commençai par me souvenir du Conseil au cours duquel le Seigneur Maitreya, dans sa grande miséricorde et sa bonté, me donna l’occasion de conserver le Concept Immaculé de l’Homme divin envers et contre les pressions de l’initiation. Au cours de cette initiation soufflèrent les vents spirituels, et les pressions de mes pensées et sentiments intimes, de même que ceux projetés sur moi par la Fraternité, tentèrent de briser ma ligne de pensée ainsi que mon modèle de pensée et de sentiments pour permettre l’intrusion d’autres idées, même bonnes, dans la visualisation de l’image parfaite que je gardais. Je me souviens de la douce voix du Seigneur Maitreya, donnant sa bénédiction et disant (au terme de trois heures d’initiation) : « C’est bien, Marie. Rappelle–toi cependant que les vents et pressions que tu as ressentis dans la pleine liberté de tes corps intérieurs ne sont rien en comparaison de ceux qui exsudent de la conscience de l’humanité et que tu ressentiras. Celle–ci, dans son impureté, son égoïsme et sa violence, les dirigera contre toi, ton époux et ton enfant lorsque votre mission aura commencé. » Debout dans la tourmente de la colline du Calvaire, voyant la cupidité dans la conscience de ceux qui aimaient le spectacle et s’en réjouissaient, je me souvins de ces paroles et, dans chaque fibre et cellule de mon être, je m’accrochai à ce Concept Immaculé du Christ ressuscité, élevé et respirant. Par chacun des atomes de mon être, j’appelai le Seigneur Maitreya, la bien–aimée Vesta, le bien–aimé Hélios, le bien–aimé Gabriel et tous ceux qui m’avaient apporté leur assistance. Je priai : « O Dieu, aide–moi maintenant dans le monde de l’apparence physique, alors que je porte ce vêtement de chair, élément du corps mental et émotionnel de la Terre ! Aide–moi à garder le Concept Immaculé pendant toutes ces heures ! » Et je perçus la réponse du cœur du Soleil ; je vis la Présence de Vesta ; je vis au–dessus de Jésus la Présence radieuse, lumineuse du Seigneur Maitreya ; je sentis l’envergure de la Présence aimante et lumineuse de Gabriel ; je reconnus mes Amis, qui seront vôtres aujourd’hui si, simplement, vous les appelez. Alors, je pensai à une nuit d’hiver d’il y a longtemps, et à une simple étable. Je pensai à Joseph, mon affectueux mari. Mon cœur bondit vers lui et, en moi–même, je suppliai : « O Joseph, si seulement tu pouvais être là, avec moi, maintenant ! Si seulement la force de ta lumière pouvait me soutenir, aujourd’hui, alors que je garde le Concept comme nous le faisions autrefois, pendant toute la jeunesse de Jésus, avec tant de bonheur, et jusqu’à ce jour. O, puisses–tu être avec moi, maintenant, comme nous le faisions si souvent à la porte de notre maison, visualisant cette forme innocente et assistant à sa croissance dans la maîtrise ! » Et Joseph fut là, avec moi, en esprit bien sûr ! Amis de lumière, amis qui tissez des liens pour l’éternité, certains parmi vous furent alors avec nous et se souviennent de ce jour !

Je pensai aussi à ce long et pénible voyage en Égypte, aux nuits sans sommeil quand nous fuyions devant les soldats d’Hérode, à notre entrée dans le Temple où nous retournâmes des années plus tard. J’évoquai ces souvenirs dans mon corps éthérique, gardant mon esprit fixé sur le plan et modèle de perfection, m’agrippant à chaque bonheur, à chaque souvenance qui effaçait l’apparence du moment. Imperturbable, je continuai à tenir le Concept Immaculé et, à l’heure voulue (car le temps est un grand guérisseur), son œuvre parfaite se réalisa, et je devins le Récepteur merveilleusement béni des âmes des hommes. En compagnie de Jean, emplie de paix intérieure et d’exaltation, je pensai en quittant cette colline et Jérusalem: « Ah ! Jérusalem, ville capricieuse ! Il y a juste une semaine retentissaient tes hosannas, mais, dans trois jours, tu seras vouée à être le théâtre d’un drame dont on se souviendra pendant des âges. Tes temples s’effondreront, tes murs délabrés s’écrouleront et les voix qui s’étaient élevées pour réclamer la crucifixion seront réduites au silence. »

Dans la paix, Jean et moi–même nous rendîmes à Béthanie et y restâmes jusqu’à ce que les jours se fussent accomplis et que la Résurrection fût un fait. C’est là que mon Fils triomphant, lors d’une visite postérieure, établit un foyer pour la Dispensation chrétienne, et nous y résidâmes pendant trente longues années, jusqu’à ce que j’eusse le privilège d’être convoquée et de rejoindre le groupe céleste d’Êtres qui sont rentrés à la Maison pour ne plus la quitter. Voilà, c’est fait et c’est écrit ! Il y a tant de courants de vie qui contribuèrent à la richesse de notre amour dans cette vie. Parmi eux se trouvent les Anges, les bien aimés Gabriel et Michel, les bien aimés Joseph (Saint Germain), Jean, Pierre et Jacques, de même que beaucoup d’entre vous, aujourd’hui dans cette salle. Êtres aimés, dans notre liberté, nous ne vous avons pas oubliés. Que vos cœurs soient bénis, vous êtes tous mes enfants ! Vous savez que j’ai le pouvoir de garder le Concept Immaculé (et peut–être l’ai–je gagné par un dur travail), mais ce que j’ai fait pour Jésus, j’ai maintenant fait le vœu devant Dieu de le réaliser pour les dix milliards d’âmes de la Terre qui se trouvent sur le chemin du retour à la Maison. Je garde aujourd’hui le Concept Immaculé pour chacun avec la même intensité que je l’ai fait pour mon Fils bien aimé. La crucifixion ne sera pas terminée tant qu’un homme, une femme ou un enfant sera dans l’affliction. La crucifixion de chaque fils et fille de l’homme n’a pas la magnitude de notre expérience, mais je vous promets que par ma foi, ma consécration, ma capacité à conserver cette vision pour vous, chacun d’entre vous sera libéré! Merci, mes bien aimés, d’accepter ma promesse. Le sentiment d’acceptation, éclatant de votre flamme du cœur, est votre liberté ! Même si vous pensez que votre croix personnelle est lourde à porter, même si vous croyez que les clous dans vos mains et vos pieds sont douloureux, je vois en vous toutes et tous le Christ vivant et ressuscité, jaillissant de la tombe de votre conscience humaine. Je vois ce Christ se dresser, transformé, comme je vis mon Fils sur la colline du Golgotha.

Pouvez–vous résister à cette vision, cet espoir, cette foi ? Non !

Vous savez, une mère ne peut être convaincue que son fils ne vaut rien. Aucune mère authentique ne peut accepter, même face à l’action physique et à la preuve, que le cœur de son fils est mauvais, car au plus profond d’elle même, elle sait la perfection de son Je réel. Pour vous tous, je me tiens devant le Soleil dans le Ciel, je me tiens dans les Salles du Karma, devant le Conseil Karmique. Je me tiens devant chaque Être, chaque Puissance, Force, Vertu, Loi et devant toute activité de l’Un Universel et je refuse d’accepter qu’un seul courant de vie soit capable de soutenir indéfiniment le mal ! Ma lumière et mon amour produiront le bien de tous les courants de vie, comme ma lumière et mon amour le firent à travers Jésus pour promouvoir sa maîtrise !

(L’audience se lève pour manifester sa gratitude.)

Merci, mes bien aimés, s’il vous plaît, veuillez vous rasseoir !

S’il est une chose que, dans ce monde, j’aime faire, c’est bien de rendre la vie plus commode. Vous savez, dans nos activités de guérison au travers des Temples, je dis toujours aux Dévas et aux Frères et Sœurs qui m’assistent de rendre les énergies des corps physiques aussi confortables que possible. Voyez–vous, la conscience n’est pas réceptive à la guérison, à la grâce ou à la vertu lorsque le corps est amer ou dans l’inconfort. C’est pourquoi je vous suggère individuellement, en particulier lorsque vous venez en classe, de rendre votre corps aussi confortable que possible, mais d’une manière alerte et positive, non pas léthargique ! C’est ainsi que vous pourrez recevoir notre bénédiction.

Nous nous trouvons aujourd’hui à un moment cosmique, et je voudrais vous en parler brièvement pour vous demander la collaboration de vos énergies. Comme je vous l’ai déjà dit, j’ai le privilège de créer le cœur physique de tout enfant à naître. Le Temple du Sacré–Cœur, dans lequel Jésus et moi–même travaillons, a pour fonction d’attirer autour de l’âme, avec l’aide de l’élémental corporel, la substance qui fera du Cœur Sacré le Tabernacle de la Triple Flamme Immortelle de Vie. Pour créer ce cœur, nous employons la substance la plus parfaite du courant de vie.

En ce moment, tous les sept Grands Seigneurs du Karma se trouvent dans les Salles du Karma. Les âmes de tous les courants de vie susceptibles d’être autorisées à s’incarner au cours des douze prochains mois leur sont présentées. Parmi elles, le Conseil Karmique choisira celles qui auront l’occasion de s’incarner. Pour une âme choisie, deux autres seront refusées. Car telle est la Loi. Jusqu’ici, dans le cadre des activités ordinaires de la vie, le choix se faisait de manière tout à fait impersonnelle, sans que l’accent fût mis sur la prépondérance de courants de vie spirituels. Toutefois, le bien aimé Maître Morya et d’autres Maîtres intéressés ont développé l’idée de demander aux Seigneurs du Karma l’opportunité d’amener à l’incarnation des gens spirituellement éveillés qui feront avant de naître le vœu d’obédience au bien aimé Sanat Kumara. Ces gens travailleront à leur liberté pendant toute la période actuelle, à dispenser à l’humanité dans son ensemble la connaissance de la Grande Fraternité Blanche, à coopérer avec les Maîtres Ascensionnés et avec la Volonté de Dieu et, plus généralement, à servir la vie. Cette pétition a été présentée hier soir par le bien aimé Sérapis Bey, et je lui en serai éternellement reconnaissante. Vos décrets, vos chants, vos appels au Grand Conseil Karmique pour l’octroi de cette opportunité auront une grande importance, et nous espérons que, pour dimanche prochain, nous aurons une réponse de cet auguste Conseil.

Puis–je faire une petite digression ? Voyez–vous, notre amour pour Sérapis Bey est très grand. En qualité de Chef de la Fraternité de Louxor, en Égypte, il nous apporta, à Jésus et à moi–même, une grande assistance. Avant le ministère public du bien aimé Jésus, mon Fils et moi retournâmes en Égypte et nous passâmes trois ans à Louxor, au terme desquels nous devînmes tous deux Maîtres de l’Initiation finale, qui est la mission particulière de cette Retraite, c’est à dire le retrait conscient du courant de vie de son corps et sa réintégration par la respiration contrôlée. Cela fut fait dans le but de nous préparer à l’épreuve suprême de Jésus. Étant si proche de mon Fils, je passai également l’initiation afin que ma conscience pût faire une avec la sienne pendant cette expérience.

Rien que pour vous montrer l’immensité du programme : il y a plus de trois cents millions d’âmes candidates à la réincarnation ! Cela peut vous paraître énorme, mais rappelez–vous qu’il y a approximativement sept milliards d’âmes qui attendent leur tour aux Portes de la Naissance ! Actuellement, environ trois milliards d’âmes sont incarnées (N.d.T.: 1954). La loi veut qu’approximativement un tiers des dix milliards d’âmes appartenant à cette planète soient incarnées, pendant que les deux autres tiers vivent dans les royaumes intérieurs. Ainsi, trois cents millions n’est pas un pourcentage exagéré par rapport à sept milliards. Il est prévu que les sept milliards d’âmes actuellement désincarnées passeront par les portes de la naissance avant la fin de la période courante de vingt ans. Vous voyez qu’il s’agit là d’une énorme tâche. Actuellement, les trois cents millions se présentent en une lente procession devant les Seigneurs du Karma. Ils doivent être sélectionnés, séparés et examinés suivant leur degré de conscience. Cet examen se pratique par groupes, lorsque les consciences ne sont pas suffisamment illuminées pour pouvoir s’incarner dans des corps spirituellement éveillés, mais il s’effectue aussi individuellement, quand le courant de vie est spirituellement ouvert et quand son service est potentiellement utile à la race. Si la pétition de Sérapis Bey est acceptée, alors il y aura au mois de mai un rassemblement où, aux niveaux intérieurs, ces âmes se verront offrir l’occasion de faire le vœu d’obéissance au bien aimé Sanat Kumara. Si elle s’accomplit, cela devrait être un événement grandiose, et si vous, gens du monde extérieur, vous vous arrangez pour tenir vos séances en même temps, nous ne pourrons manquer de percevoir la reconnaissance de la Grande Loi.

Dès maintenant, et cela jusqu’à dimanche, si vous pouvez trouver le temps et l’énergie de faire des appels de dispensation au Conseil Karmique, afin que soient choisies pour l’incarnation exclusivement des âmes spirituellement évoluées, cela aidera formidablement la Terre. Puis, bien sûr, il y aura grand besoin d’appels en faveur de ces âmes qui s’incarnent, car, voyez–vous, elles seront spirituellement plus avancées que leurs parents. Si les courants de vie avancés ont la faveur du vote, il n’y aura pas suffisamment de parents illuminés pour les guider et les garder, et nous devrons demander la purification et l’illumination des consciences dans les foyers où ces nouveaux enfants arriveront. Merci infiniment de l’intérêt que vous montrez pour ce sujet très important. Ce matin, alors que votre attention se porte vers notre bien aimé Jésus et vers moi–même, je vous apporte notre amour et notre gratitude pour la profondeur de votre sentiment, pour votre magnifique harmonie et pour cet exquis champ de force. C’est une chose délicieuse que d’être reçus par vous, et la bienvenue que vos sentiments expriment vis–à–vis de ceux d’entre nous qui s’occupent de vous, rend possible la radiation que nous épanchons aujourd’hui sur l’humanité entière.
Merci et bonne journée !

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